Journal 2 Lucía Bocanegra

MARSELLA ENE/FEB 2017

En esta ocasión confiaba tener la información plasmada en mi cuerpo, pero fue la etapa más dura en la que aparecieron de forma más clara nuevos conceptos.

ANTES QUE BAILARINES SOMOS PERSONAS Y MOSTRAMOS RELACIONES E IMÁGENES A UN PÚBICO EN PARTICULAR.

Somos personas contando historias de personas, a personas con mente y ojos de persona. Cuando se danza en espacios públicos hay que tener en cuenta que nos ven espectadores de esa calle, de un entorno determinado, cultural e históricamente hablando. En esta posición no somos bailarines de escena representando historias de alguna manera ficticias, sino que mostramos nuestra relación real de cuerpos. Entre todos debemos crear una sociedad o colectivo propio de los seres vivos, a una escala más pequeña y concentrada.

EL ENTENDIMIENTO ENTRE NOSOTROS COMO OBJETIVO.

Debemos estar abiertos al entendimiento entre nosotros. Todo el trabajo es para conseguirlo y así poder encontrar ese fluir continuo en las relaciones que irradian esa frescura in situ. Hasta ahora me había focalizado demasiado en mí, estaba demasiado dentro. Creía tener tanto trabajo personal que se me escapaba la idea del grupo, de que los elemento más importantes del espacio son las personas que lo comparten conmigo.

CONTINUO MOVIMIENTO, CONOCER, CONFIANZA, DENTRO Y FUERA.

El movimiento nunca cesa. La conexión grupal mantiene el fluir, y por más que nuestro cuerpo parezca parado no lo está gracias a la unión. Para eso tenemos que ser conscientes de lo que pasa tanto dentro como fuera, sin forzar ninguna situación, pensando con el cuerpo intuitivamente, sin estancarnos en nosotros mismos ni en los demás. Y solo se consigue confiando en mí y en el grupo.

SIEMPRE PREPARADOS PARA SER MI PROPIO APOYO Y EL VUESTRO, VOSOTROS VUESTRO APOYO Y EL MÍO.

Es la regla más importante. A partir de la confianza total puedo probar conmigo y con el grupo para poder conocerme y conocerlos más, saber cómo se desenvuelven en cada situación, aunque esa impresión puede cambiar.

ESTAR ALERTA, ABIERTA A CUALQUIER SITUACIÓN Y CONEXIÓN, MANTENER LA CONFIANZA ACTIVA.

Partiendo de la idea de “memoria sobrevalorada”, en el trabajo de un dúo por ejemplo, probando todas las posibles combinaciones, de dos o más bailarines, y cambios de rol, debemos conseguir una desconexión entre lo mental y lo ejecutivo dando paso a la ACCIÓN INSTANTANEA, ALERTA E INTUICIÓN del ser humano en su actual naturaleza.


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Texte et images : Lucía Bocanegra

Danseuse participant dans le projet SHAPERS

Journal 3 Lucía Bocanegra

MOROCCO, CASABLANCA y MARRAKESH, FEB-MAR 2017

“Comienza a conformarse el grupo, nos empezamos a comunicar entendiéndonos cada vez más, reaccionando mas respetuosamente. Pero el trabajo continúa.”

“Lo más importante a tener en cuenta es el confiar en la intuición del cuerpo, dejar que éste piense. Él nos dirá, como personas que somos, viniendo de donde venimos y siendo lo que somos, cómo nos comportamos ante las situaciones que se nos plantean.”

Traté de escribir toda la pieza describiendo las relaciones en sí, las emociones que se generaban, recordando cómo estaba mi cuerpo y el de ellos y cada una de nuestras reacciones.

7 MARZO, PLACE DES NATIONS UNIES, Casablanca.

“Vamos conectando, vamos creando esa energía grupal, esa fuerza sólida, vamos superando obstáculos, personales y profesionales. Vamos conociéndonos, ya estamos compartiendo, queriéndonos, apoyándonos, ayudándonos, entendiéndonos. Ya nos estamos haciendo. Somos Shapers, ha ocurrido, ¡ahora empezamos!”

11 MARZO, FESTIVAL “ON MARCHE”, Marrakesh.

“Con esta última presentación en Work in Progress,

hemos dado el último salto antes de empezar. Grandísima experiencia compartida con el grupo dentro de un festival con una programación internacional, apoyada por organizaciones sólidas. Había muchas propuestas que, al igual que el proyecto Shapers, apoya la igualdad dentro de la diversidad, las relaciones entre diferentes personas del mundo, y mostrando todo lo que juntos podemos hacer.

Cuando bailamos para un público inevitablemente e inconscientemente nos apoyamos entre nosotros. El próximo paso es que, juntos, nos demos el gusto de apoyarnos los unos a los otros. Para mí, lo que vamos consiguiendo, es algo precioso y muy valioso.
Próxima parada… Alejandría, Festival Nassim El Raqs…

¡Estreno de SHAPERS!”


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Texte et images : Lucía Bocanegra

Danseuse participant dans le projet SHAPERS

Premier repérage à Alexandrie

Emilie Petit

Yasmine, Amr et moi allons nous balader dans Alexandrie pour commencer à envisager un espace de création pour SHAPERS. Une intuition me pousse à les amener sur l’esplanade de la Mosquée Abu-El Abbès el Morsi, riche en symbôle et en potentiel. Je les amène là, non vraiment pour le rendre possible, mais plutôt pour leur dire à quel point j’aimerai qu’il puisse être possible d’envisager de tels endroit pour inventer des situations d’expérience de création à Alexandrie. Yasmine me raconte qu’elle connaît le Sheikh Gaber, qui encadre la communauté soufie qui occupe ce lieu, et que nous pouvons entrer en contact avec lui. La rencontre m’attire en ce qu’elle porte d’ouverture. Le potentiel est là, bien au delà du lieu : la danse contemporaine, la création en espaces publics et le soufisme pourront-ils se rencontrer sur des valeurs communes ?

 

Premier repérage, Alexandrie, février 2017

 


Texte : Emilie Petit | Images : Emilie Petit et Ex Nihilo

Momkin – espaces de possibles [Marseille-France] a pour but d’initier et d’accompagner des projets artistiques et culturels dans les villes et territoires du pourtour méditerranéen, à travers la mise en place d’activité de création, production et de diffusion d’œuvres artistique, la conception de projets de coopération culturelle et interculturelle, ainsi que le développement d’activités de transmission et de sensibilisation. Le festival Nassim el Raqs porté par Momkin, propose tous les ans depuis 2011 des initiatives artistiques en interaction avec la ville d’Alexandrie. www.momkin.co

Une cartographie de références avec Alix de Morant

décembre 2017

Les danseurs SHAPERS et partnaires Ex Nihilo et Momkin – espaces de possibles ont participé à une présentation par Alix de Morant sur l’histoire des interventions artistiques dans l’espace public, suivi par un atelier de cartographie de références personnelles de danse.

Cette présentation et l’atelier ont eu lieu à la Cité des Arts de la Rue à Marseille. 


Alix de Morant est maître de conférences en études théâtrales et chorégraphiques à l’université Montpellier III. Elle est membre du laboratoire RIRRA21 (EA 4209) et de l’Association des chercheurs en danse. Enseignante associée au Master EXERCE adossé à l’université Paul Valéry et à ICI-CCN Centre Chorégraphique National de Languedoc Roussillon dirigé par Christian Rizzo, elle dirige également le Master DAPCE de direction artistique de projets culturels. Elle est l’auteure avec Sylvie Clidière d’Extérieur danse. Essai sur la danse dans l’espace public (Montpellier, L’Entretemps, 2009), et la principale éditrice d’In Situ In Cité (HorsLesMurs, 2013). Elle a également participé aux ouvrages collectifs La scène & les images (CNRS éditions 2001), Butô(s) (CNRS éditions 2002), Art et ville contemporaine. Rythmes et flux (Publications de l’université de Saint-Étienne, 2012) et La Rue comme espace chorégraphique (Presses universitaires de Rouen et du Havre, à paraître). Ses recherches portent sur  les esthétiques théâtrales et chorégraphiques contemporaines, la performance, sur l’histoire de la danse au 20e et 21e siècles, dans sa relation aux autres arts.

Une selection de ces publications :

Rencontres des partenaires à Marseille I

Première étape du projet à Marseille, et pour l’ensemble des partenaires l’occasion de rencontrer les danseurs sélectionnés et d’assister aux premières répétitions.

Le choix des lieux sera le principal sujet débattu dans cette rencontre. Les contraintes et les difficultés auxquelles doivent faire face chaque partenaire en fonction de leurs contextes sociaux et politiques respectifs.

La création in situ demande à prendre en compte la spécificité des lieux, de ses usages et de ses habitants. Il est important d’expliquer et faire comprendre aux autorités les nécessités de ce type de travail. Il ne s’agit pas de monter une scène dans la rue mais bien de travailler en immersion dans la ville dans la durée et en relation avec le contexte.

Se pose la question des demandes d’autorisation longues et nécessaires qui vont être estimées au regard de la sécurité, de la gestion du public, du balisage dans chaque pays de manière différente.

Se pose pour la prochaine étape au Maroc, la possibilité d’étendre les autorisations pour pouvoir travailler en amont. Comment et où répéter quand le choix de la place des Nations Unies, au cœur de la ville et de la vie de Casablanca, point de rencontre de tous les quartiers, de toutes les populations, rend difficile voire impossible un usage au delà du jour du spectacle.

Plus largement, la question des lieux est abordée à l’échelle du projet. Comment les villes Casablanca, Marseille, Séville, Sarajevo et Alexandrie peuvent se répondre, dialoguer entre elles à travers le choix des lieux ?  Qu’est-ce qui fait sens entre ces 5 villes ? Qui fait sens pour les 5 partenaires.

Il s’agira de construire une forme de spectacle, adaptable à des lieux très différents afin de laisser le choix de lieux qui font sens et pas seulement un même lieu décliné dans chaque ville.

Conserver et affirmer la possibilité d’expérimenter tout au long du projet et d’être réactif à chaque étape.

La diversité des lieux fait la force du projet.

La question du lieu a du sens pendant la tournée dans l’aller/retour avec les opérateurs en maintenant une exigence dans la choix du lieu. Cela permet de constituer une sorte de collection des lieux.

Qu’est ce que ce lieu représente? pour le public ? les habitants ou usagers ? dans la mémoire collective ? symbolique dans la dynamique actuelle ? Comment prendre contact avec le public?

 

 

Crédit image : Ex Nihilo

Résidence de création à Marseille

Janvier 2017

Suite à la sélection des 2 danseuses françaises pour compléter l’équipe de danseurs, le projet SHAPERS a bénéficié d’une deuxième résidence de création.

Cette résidence c’est faite avec Anne Le Batard, Jean Antoine Bigot, Corinne Pontana et Rolando Rochala de la compagnie Ex Nihilo avec les 9 danseurs particpant au projet SHAPERS à la Cité des arts de la rue, à Marseille, du 19 au 30 janvier.


Ex Nihilo [Marseille-France] est une compagnie de danse contemporaine dirigée par Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot autour d’un désir commun : faire de l’espace public un lieu privilégié de création et de diffusion en plaçant au centre de leurs préoccupations artistiques la rencontre avec un contexte singulier et ses usagers, habitants, public, ou passants. www.exnihilodanse.fr

Les danseurs

Suite à une série de workshop auditions de avril 2016 à janvier 2017, huit jeunes danseurs, issus d’Egypte, de France, d’Espagne et du Maroc ont participé à ce programme de formation pour danseurs professionnels.

La danseuse Emma Riba est venue enrichir l’équipe dans le cadre de reprise de rôles, à partir d’octobre 2017.

 


Ahmed Shamel Azmy, Egypte

Né en 1991 au Caire, en Egypte, Ahmed Shamel Azmy s’est intéressé à la danse à un très jeune âge, en pratiquant le Hip Hop à la maison, utilisant YouTube et d’autres médias pour améliorer ses compétences. À l’âge de 21 ans, il a été accepté au Centre de danse contemporaine du Caire, où il a eu l’occasion de travailler avec divers chorégraphes tels que Christian Ubl, Arno Schuitmarker et Libertad Pozo. Ahmed est également membre de Swaggers Crew avec de l’expérience en danse de rue et Krump.

Tout au long du projet SHAPERS, Ahmed a été intrigué par le concept de mouvement et comment trouver des mouvements plus fort plutôt que danser plus fort. Il utilise des pratiques telles que le «flux animal» comme source d’inspiration ainsi qu’une variété d’autres pratiques physiques pour explorer son corps et ses capacités, un concept qu’il souhaite populariser dans la communauté de la danse égyptienne.

Shady Abdelrahman, Egypte

Shady Abdelrahman est un jeune artiste, acteur, danseur, pantomime et clown. Depuis 2007, il a joué dans de nombreuses représentations théâtrales, courts métrages et émissions de télévision. Il a participé à l’atelier de préparation des acteurs du studio ZAT 2015-2016 avec Shady Khalaf et Ahmed Kamal.

Avec une formation en danse popping, sa relation à la danse contemporaine a commencé dans l’atelier de Karima Mansour en 2011, avant de rejoindre le programme de formation professionnelle du Centre de danse contemporaine du Caire (2012-2015). Pendant ses études, il a été sélectionné pour suivre le programme de bourses Henny Jurriens à Amsterdam. En plus de travailler et de tourner avec de nombreux chorégraphes et compagnies, Shady travaille sur ses propres projets en tant que metteur en scène et chorégraphe.

Mourad Kouala, Maroc

Danseur et circassien, spécialiste du pôle chinois, Mourad Koula a été formé à l’école nationale de cirque de Shems’y à Salé, au Maroc. Il a travaillé avec de nombreux réalisateurs et chorégraphes : Sylvie Guillermin, Guillaume Bertrand, Juha Marsalo, Thierry Poquet, Jawad Essounani, Anne Le Batard, Jean Antoine Bigot et Samuel Tétreault.

Son solo Shkoun ana a été présenté plusieurs fois au Maroc et en France. Mourad a participé à : Karacena Festival à Salé (2012 & 2014), Sacred World Music Festival à Fès (2013 & 2014), Festival Fatw’art à Casablanca (2013, 2014 & 2015), Nassim el Raqs à Alexandrie (2015), Festival art et cirque d’Agadir (2015), Chalon dans la rue en France (2015), Festival Mes de danza à Séville (2016), Festival du cirque de Crolles en France (2016) et le festival de danse On marche à Marrakech ( 2017). Il crée actuellement de nouvelles performances telles que Error 404 avec la cie Wajdins et Youness Essafy.

Ayoub Kerkal, Maroc

Circassien et danseur, Ayoub Kerkal a commencé sa formation à la renommée école nationale de cirque Shems’y à Salé, au Maroc, en 2011. Depuis 2012, il revient à sa première passion, la danse contemporaine, en travaillant avec des chorégraphes comme Mic Guillaumes, Thomas Huert et la compagnie Ex Nihilo.

En 2013, il devient membre de la compagnie parkour Accroche-toi, en tant que danseur et circassien. Ayoub a participé à des festivals tels que la Biennale des arts du cirque à Karacena (2012 et 2015), ainsi que de multiples festivals de danse : On Marche au Maroc, Nassim el Raqs en Egypte et Festival Zvrk en Bosnie Herzégovine.

Lucia Bocanegra, Espagne

Lucia Bocanegra est née à Séville en 1997. Elle a commencé à danser à l’espace Endanza à Séville en 2000. Avant d’entrer au Conservatoire de danse professionnelle, elle a également suivi des cours au Performing Arts Center de Séville. Lucia a choisi de se spécialiser en danse contemporaine en 2015 et a été sélectionnée par le CAD (Centre de Danse d’Andalousie) pour s’entraîner. En outre, elle a participé à la création de diverses pièces courtes, telles que Seenpro (2015), Soulviewer, pièce de fin d’année 2015 du conservatoire, et le trio Nudas (2016). Lucia a également interprété le solo Gnosis, pour la tournée CAD 2015 et Salafuera dans le cadre de la collaboration culturelle de la Noche en Blanco 2016 à Séville. De 2016 à 2018, elle rejoint l’équipe du Projet Euro-Méditerranéen SHAPERS avec la compagnie Ex Nihilo.

Elvira Balboa, Espagne

Elvira Balboa a terminé ses études de danse professionnelle en 2017 au Royal Contemporary Dance School Reina Sofia. Elle fait actuellement partie du projet euro-méditerranéen SHAPERS, réalisé par la compagnie française Ex Nihilo. Elle poursuit ses études supérieures en danse à l’Institut du théâtre de Barcelone.

Elvi est danseuse et chorégraphe dans la compagnie Land Lab Project et CIA la Coet. En 2015, elle a participé au projet Let’s Dance réalisé par Trinidad Castillo, une élève de Pina Bausch. De 2012 à 2016, elle a créé et organisé le projet Danzamatique (micro, macro, perfodanza) à Grenade.

Natacha Kierbel, France

Natacha Kierbel est née à Paris en 1995. Elle a suivi une formation au Conservatoire Régional de Paris. En outre, elle a étudié la littérature et le théâtre à l’Université Sorbonne Nouvelle et a suivi une formation à l’École internationale de théâtre de Paris. En 2014, Natacha rejoint le Geneva Junior Ballet où elle interprète le répertoire d’Aleksander Ekman, de Hofesh Shechter, de Roy Assaf, de Barak Marshall, de Sharon Eyal, d’Adonis Foniadakis et de Kaori Ito entre autres. Diplômée en 2016, Natacha a travaillé avec la compagnie Ex Nihilo pour le projet euro-méditerranéen SHAPERS, chorégraphié par Anne Le Batard et tournée au Maroc, en Egypte, en Espagne et en Bosnie. Elle a également travaillé avec le metteur en scène Robert Carsen à l’Opéra de Lausanne et avec la compagnie Karine Saporta.

Aurore Allo, France

Aurore Allo a étudié la danse contemporaine à Paris et en Belgique. Elle a travaillé pour différents projets en France et à l’étranger en tant que danseuse et chorégraphe. Elle croit en l’art dans l’espace public comme un moyen de communiquer avec le public dans un domaine commun et publiquement utilisé.

Aurore s’intéresse à la danse et à l’art en tant qu’outil de médiation sociale, en particulier pour les enfants et les personnes handicapées.

Emma Riba, Spain

Née en Andorre en 1990, Emma Riba a étudié la danse contemporaine dans différentes écoles de Barcelone et a terminé ses études à Salzbourg à l’académie SEAD où elle a appris avec des danseurs et chorégraphes tels qu’Edivaldo Ernesto, Rootlessroots, Milan Tomasik parmi d’autres. Depuis 2016, elle a travaillé avec des chorégraphes comme Willi Dorner, Zsuzsa Rozsavolgyi, Helena Pellisé et a collaboré comme substitut au projet euro-méditerranéen SHAPERS avec la Compagnie Ex Nihilo. Elle est actuellement membre de la compagnie espagnole Cielo Ras0. En 2017, elle crée avec Laura Alcalà le collectif de danse US BACK IN TOWN. Ils travaillent non seulement dans le domaine de la création mais aussi pour promouvoir la danse et la création en tant qu’outils de médiation sociale. Ils ont travaillé avec des amateurs dans les écoles et avec des personnes handicapées.

Workshop et audition à Marseille

Un workshop audition avec Anne Le Batard, Jean-Antoine Bigot, Corinne Pontana et Rolando Rocha de la compagnie de danse Ex Nihilo a eu lieu à la Cité des arts de la rue à Marseille du 17 au 18 janvier.

Cette étape du projet a été suivi par une résidence de création pour la piece chorégraphique SHAPERS avec les 8 danseurs participants, à la Cité des arts de la rue.

Suite à l’audition, deux danseuses françaises ont été sélectionnés pour le projet de formation et de création de la pièce chorégraphique SHAPERS :

Natacha Kierbel
Aurore Allo

 

 

 

 

 

 


Ex Nihilo [Marseille-France] est une compagnie de danse contemporaine dirigée par Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot autour d’un désir commun : faire de l’espace public un lieu privilégié de création et de diffusion en plaçant au centre de leurs préoccupations artistiques la rencontre avec un contexte singulier et ses usagers, habitants, public, ou passants. www.exnihilodanse.fr

Résidence de création à Séville

Lors du festival de danse contemporaine Mes de Danza #23 (26 octobre – 6 novembre), le projet SHAPERS  a bénéficié d’une première résidence de création. Cette résidence c’est faite avec la compagnie Ex Nihilo et les danseurs Marocains, Egyptiens, et les 2 danseuses Espagnoles sélectionnées dans l’audition qui a précédé la résidence.


Mes de Danza [Séville-Espagne] Depuis sa première édition en 1994, l’objectif principal du festival Mes de Danza est d’explorer l’art chorégraphique dans ses tendances les plus diverses et les rapprocher d’un public (initié ou non). Au-delà de la programmation de spectacles, il est également un outil structurant pour la danse contemporaine en Andalousie et en Espagne. www.mesdedanza.es 

 

Workshop et audition à Seville

Un workshop et une audition ont eu lieu les 17 et 18 octobre à Séville, en Espagne. À la suite de ce workshop, deux danseuses espagnoles ont été sélectionnées pour participer à la première résidence de création de la pièce chorégraphique SHAPERS lors du Festival de danse contemporaine Mes de Danza # 23.

C’était la première présentation publique de la performance.

Cette phase du projet consistait à entrer en contact avec des acteurs locaux de la scène de danse à Séville.

Les deux danseuses sélectionnées en Espagne :

Lucia Bocanegra
Elvira Balboa

 

 

 

 

 


Mes de Danza [Séville-Espagne] Depuis sa première édition en 1994, l’objectif principal du festival Mes de Danza est d’explorer l’art chorégraphique dans ses tendances les plus diverses et les rapprocher d’un public (initié ou non). Au-delà de la programmation de spectacles, il est également un outil structurant pour la danse contemporaine en Andalousie et en Espagne. www.mesdedanza.es