Le corps individuel et collectif est-il impacté, imprégné du contexte, ou plutôt en dialogue et en réponse à celui-ci ?
Comment résonne une matière artistique circulant de ville en ville autour de la mer méditerranée ?
Comment transporte t-on cette matière en soi, avec soi, quand on est danseur et qu’il n’y a ni décor si supplément, quand on a pour tout et pour tout que son corps pour véhicule et habitacle ?
L’expérience corporelle est-elle transportable et cumulable ou singulière et unique ?
Est-il possible de la transporter d’un point à un autre, d’un contexte à un autre, pour la faire résonner, éclater, rebondir ? pour la transformer ?
Cette vaste question peut-elle être un champ de transmission ?