Conférence au Festival de Marseille II

au Théâtre des Bernardines

Dans le cadre du programme « LE FESTIVAL DES IDÉES, FAIRE VILLE ENSEMBLE #2 » du Festival de Marseille : co-création de la ville entre artistes, habitants, espaces et institutions

Réflexions et mise en débat

Pour cette journée nous reformulons la question plus générale du « faire ville ensemble » : quel est la position des arts (des politiques culturelles, des institutions et programmations et des artistes) dans une société urbaine polycentrique, multi-échelles et multi-identitaire ? Et dans ce cadre : quels sont les coproductions (partenariats, méthodes, thématiques, etc) nécessaires à cet effet ?



Avec La Biennale des Écritures du Réel et les résidents artistiques du Vooruit (Gand). Réflexion et débat avec Eric Corijn (Université Libre de Bruxelles), Fanny Robles (Enseignante-chercheuse au LERMA, Aix-Marseille Université) et des chercheurs du territoire.

Masterclasse avec Ali Salmi

à la Cité des arts de la rue, le 29 et 30 juin 2018, et au Ballet National de Marseille, le 1er juillet 2018

 

Depuis le début du projet en 2016, les jeunes danseurs participant au projet SHAPERS ont eu l’occasion de rencontrer divers chorégraphes pour découvrir de nouvelles esthétiques et approfondir leur vocabulaire chorégraphique. Ouvertes aussi à tous les danseurs volontaires, professionnels et ou en cours de professionnalisation, ces masterclass ont également été l’occasion de rencontrer d’autres danseurs de la région.

Pour cette dernière du cycle de quatre masterclass organisé dans la cadre du projet, Ex Nihilo a invité Ali Salmi, danseur chorégraphe et directeur artistique de la Cie Osmosis, à partager sa démarche et son rapport à l’espace public.

 


Cette masterclasse a été organisée dans le cadre de la SUMMERSCHOOL un événement de MP 2018, projet initié par le Ballet National de Marseille, marseille objectif DansE, Le Pôle 164, l’Ecole Nationale Supérieure de danse de Marseille, Le Ballet Preljocaj, Le Groupe Grenade, et KLAP Maison pour la Danse.

Performance à Marseille

Devant le Centre Bourse, à Belsunce

Cette performance s’inscrit dans le temps fort du projet à Marseille, organisé par la compagnie Ex Nihilo, du 23 juin au 1 juillet.

Présenté dans le cadre des Dimanches de la Canebière, en partenariat avec Lieux Publics – Centre national de création en espace public, du Festival de MarseilleSHAPERS a été présenté à Marseille le dimanche 24 juin.

Les Dimanches de la Canebière sont organisées par la Mairie du 1er & 7e arrondissements.

temps fort à marseille

En parallel à cette performance, deux conférences on été organisées dans le cadre du cycle de rencontres du 23e édition du Festival de Marseille, ‘FAIRE VILLE ENSEMBLE #2’  : Art, espace public, Méditerranée le 23 juin, et Co-création de la ville entre artistes, habitants, espaces et institutions, le 30 juin au Théâtre des Bernardines. En plus, une masterclasse avec le danseur-chorégraphe Ali Salmi a été organisé à la Cité des Arts de la rue et au Ballet National de Marseille du 29 juin au 1er juillet.

 


Pièce pour 9 danseurs, 45 minutes

Conception : Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot, avec la complicité de Rolando Rocha et Corinne Pontana de la cie Ex Nihilo

Danseurs : Lucia Bocanegra, Mourad Koula, Natacha Kierbel, Shady Abdelahman, Elvira Balboa, Ayoub Kerkal, Aurore Allo, Ahmed Shamel et Emma Riba.

Musique : Pascal Ferrari et Jean-Antoine Bigot


Ex Nihilo [Marseille-France] est une compagnie de danse contemporaine dirigée par Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot autour d’un désir commun : faire de l’espace public un lieu privilégié de création et de diffusion en plaçant au centre de leurs préoccupations artistiques la rencontre avec un contexte singulier et ses usagers, habitants, public, ou passants. www.exnihilodanse.fr

Conférence au Festival de Marseille I

au Théâtre des Bernardines

Dans le cadre du programme « LE FESTIVAL DES IDÉES, FAIRE VILLE ENSEMBLE #2 » du Festival de Marseille : Art, espace public, Méditerranée

Réflexions et mise en débat


Ici le point de départ est « l’espace public » : un espace en théorie partagé et ouvert qui s’avère, en réalité communautarisé – c’est à dire caractérisé par le contexte, par des pratiques sociales particulières et par des populations précises. Quelle est alors la fonction donnée à l’art dans ces espaces ? S’il s’agit de faire parler ces endroits, ces quartiers, à qui appartient le récit ?

Pourrait on dire que l’art dans l’espace public apporte un récit contextuel qui doit faire sens pour ceux qui pratiquent ces espaces ?

Cet art exprime-t-il le particulier et la différence ou bien participe-t-il à la « citoyenneté » ?

Ces questions résonnent nécessairement différemment lorsqu’on les regarde d’Alexandrie, de Sarajevo, de Tunis ou de Marseille.


Avec Julien Marchaissau (Rara Woulib), Guy-André Lagesse (Les Pas Perdus), Julie De Muer (Hôtel du Nord), Selma Ouissi (L’Art Rue / Dream City), Anne Le Batard (Ex Nihilo), Emilie Petit (Momkin espaces de possibles). Réflexion et débat avec Eric Corijn (Université Libre de Bruxelles), et la philosophe Joëlle Zask en présence des co-organisateurs euro-méditerranéens du projet SHAPERS.

Réunion de partenaires à Marseille II

Cette réunion de partenaires a eu lieu à la Cité des arts de la rue, à Marseille, le 26 et 27 mai 2018

Tous les partenaires du projet étaient présents pour cette réunion dont l’objectif était de faire un bilan du projet – Ex Nihilo (Marseille), Nassim el Raqs (Alexandrie)/Momkin-espaces de possibles (Marseille), le Centre Rézodanse – Egypte (Alexandrie), l’Espace Darja (Casablanca), Mes de Danza (Séville), ZVRK (Sarajevo), in8 circle – maison de production (Marseille).

Nous avons fait appel à Alix de Morant pour animer deux journées d’échanges et traverser  l’ensemble du projet pour en reprendre les points positifs,  les difficultés et les grands moments de satisfaction. Un premier bilan pour mettre en valeur les compétences que nous avons acquises en vue de les remettre en jeu dans d’autres projets collaboratifs  ou dans nos projets personnels.

Chaque jour a commencé avec un temps d’échauffement commun, guidé par Corinne Pontana et Rolando Rocha, danseurs de la compagnie Ex Nihilo.

Puis, chaque partenaire a préparé un exposé abordant une des thématiques traversées par le projet en partant de sa place, de son approche et de son expérience personnelle dans le but d’ouvrir les débats et travailler un point d’analyse du projet commun,

-Quelles sont les compétences et les savoirs faire que vous avez mis en œuvre dans le projet commun ?

-Qu’est-ce que SHAPERS a apporté à votre projet culturel ?

-Quelles sont, selon vous, les nouvelles compétences que vous avez développées grâce au projet SHAPERS à l’aune de l’expérience partagée ? Et à votre projet artistique ou culturel en particulier?

-Quelles traces laisser de SHAPERS ?

Masterclass avec Thierry Thieû Niang

Depuis le début du projet en 2016, les jeunes danseurs participant au projet SHAPERS ont eu l’occasion de rencontrer divers chorégraphes pour découvrir de nouvelles esthétiques et approfondir leur vocabulaire chorégraphique. Ouvertes aussi à tous les danseurs volontaires, professionnels et ou en cours de professionnalisation, ces masterclass ont également été l’occasion de rencontrer d’autres danseurs de la région.

Dans ce contexte, le chorégraphe Thierry Thieû Niang a été invité à donner la masterclasse Partager avec les autres, au-delà du fossé des générations, à la Cité des arts de la rue. Les danseurs SHAPERS ont participé aux côtés de danseurs amateurs âgés et d’autres danseurs professionnels.

 


Thierry Thieû Niang, danseur et chorégraphe, associe à ses créations des artistes de différentes disciplines ainsi que des enfants, des adolescents, des amateurs âgés, des prisonniers et des personnes autistes.

Durant la saison 17/18, il a travaillé dans le théâtre, l’opéra, la danse et le cinéma avec les artistes suivants: Marie Desplechin, Ariane Ascaride, Anne Alvaro, Éponine Momenceau, Dominique Blanc, Valérie Bruni Tedeschi, Linda Lê, Claire-Ingrid Cottanceau, Madeleine Louarn, Sara Llorca, Daniel Jeanneteau, Jean Bellorini, Philippe Lefait, Olivier Mellano, Jimmy Boury, Éric Caravaca, Sébastien Ly, Nicolas Daussy, François Gedigier et François Waledisch.

 

Une cartographie de références avec Alix de Morant

décembre 2017

Les danseurs SHAPERS et partnaires Ex Nihilo et Momkin – espaces de possibles ont participé à une présentation par Alix de Morant sur l’histoire des interventions artistiques dans l’espace public, suivi par un atelier de cartographie de références personnelles de danse.

Cette présentation et l’atelier ont eu lieu à la Cité des Arts de la Rue à Marseille. 


Alix de Morant est maître de conférences en études théâtrales et chorégraphiques à l’université Montpellier III. Elle est membre du laboratoire RIRRA21 (EA 4209) et de l’Association des chercheurs en danse. Enseignante associée au Master EXERCE adossé à l’université Paul Valéry et à ICI-CCN Centre Chorégraphique National de Languedoc Roussillon dirigé par Christian Rizzo, elle dirige également le Master DAPCE de direction artistique de projets culturels. Elle est l’auteure avec Sylvie Clidière d’Extérieur danse. Essai sur la danse dans l’espace public (Montpellier, L’Entretemps, 2009), et la principale éditrice d’In Situ In Cité (HorsLesMurs, 2013). Elle a également participé aux ouvrages collectifs La scène & les images (CNRS éditions 2001), Butô(s) (CNRS éditions 2002), Art et ville contemporaine. Rythmes et flux (Publications de l’université de Saint-Étienne, 2012) et La Rue comme espace chorégraphique (Presses universitaires de Rouen et du Havre, à paraître). Ses recherches portent sur  les esthétiques théâtrales et chorégraphiques contemporaines, la performance, sur l’histoire de la danse au 20e et 21e siècles, dans sa relation aux autres arts.

Une selection de ces publications :

Rencontres des partenaires à Marseille I

Première étape du projet à Marseille, et pour l’ensemble des partenaires l’occasion de rencontrer les danseurs sélectionnés et d’assister aux premières répétitions.

Le choix des lieux sera le principal sujet débattu dans cette rencontre. Les contraintes et les difficultés auxquelles doivent faire face chaque partenaire en fonction de leurs contextes sociaux et politiques respectifs.

La création in situ demande à prendre en compte la spécificité des lieux, de ses usages et de ses habitants. Il est important d’expliquer et faire comprendre aux autorités les nécessités de ce type de travail. Il ne s’agit pas de monter une scène dans la rue mais bien de travailler en immersion dans la ville dans la durée et en relation avec le contexte.

Se pose la question des demandes d’autorisation longues et nécessaires qui vont être estimées au regard de la sécurité, de la gestion du public, du balisage dans chaque pays de manière différente.

Se pose pour la prochaine étape au Maroc, la possibilité d’étendre les autorisations pour pouvoir travailler en amont. Comment et où répéter quand le choix de la place des Nations Unies, au cœur de la ville et de la vie de Casablanca, point de rencontre de tous les quartiers, de toutes les populations, rend difficile voire impossible un usage au delà du jour du spectacle.

Plus largement, la question des lieux est abordée à l’échelle du projet. Comment les villes Casablanca, Marseille, Séville, Sarajevo et Alexandrie peuvent se répondre, dialoguer entre elles à travers le choix des lieux ?  Qu’est-ce qui fait sens entre ces 5 villes ? Qui fait sens pour les 5 partenaires.

Il s’agira de construire une forme de spectacle, adaptable à des lieux très différents afin de laisser le choix de lieux qui font sens et pas seulement un même lieu décliné dans chaque ville.

Conserver et affirmer la possibilité d’expérimenter tout au long du projet et d’être réactif à chaque étape.

La diversité des lieux fait la force du projet.

La question du lieu a du sens pendant la tournée dans l’aller/retour avec les opérateurs en maintenant une exigence dans la choix du lieu. Cela permet de constituer une sorte de collection des lieux.

Qu’est ce que ce lieu représente? pour le public ? les habitants ou usagers ? dans la mémoire collective ? symbolique dans la dynamique actuelle ? Comment prendre contact avec le public?

 

 

Crédit image : Ex Nihilo

Résidence de création à Marseille

Janvier 2017

Suite à la sélection des 2 danseuses françaises pour compléter l’équipe de danseurs, le projet SHAPERS a bénéficié d’une deuxième résidence de création.

Cette résidence c’est faite avec Anne Le Batard, Jean Antoine Bigot, Corinne Pontana et Rolando Rochala de la compagnie Ex Nihilo avec les 9 danseurs particpant au projet SHAPERS à la Cité des arts de la rue, à Marseille, du 19 au 30 janvier.


Ex Nihilo [Marseille-France] est une compagnie de danse contemporaine dirigée par Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot autour d’un désir commun : faire de l’espace public un lieu privilégié de création et de diffusion en plaçant au centre de leurs préoccupations artistiques la rencontre avec un contexte singulier et ses usagers, habitants, public, ou passants. www.exnihilodanse.fr

Les danseurs

Suite à une série de workshop auditions de avril 2016 à janvier 2017, huit jeunes danseurs, issus d’Egypte, de France, d’Espagne et du Maroc ont participé à ce programme de formation pour danseurs professionnels.

La danseuse Emma Riba est venue enrichir l’équipe dans le cadre de reprise de rôles, à partir d’octobre 2017.

 


Ahmed Shamel Azmy, Egypte

Né en 1991 au Caire, en Egypte, Ahmed Shamel Azmy s’est intéressé à la danse à un très jeune âge, en pratiquant le Hip Hop à la maison, utilisant YouTube et d’autres médias pour améliorer ses compétences. À l’âge de 21 ans, il a été accepté au Centre de danse contemporaine du Caire, où il a eu l’occasion de travailler avec divers chorégraphes tels que Christian Ubl, Arno Schuitmarker et Libertad Pozo. Ahmed est également membre de Swaggers Crew avec de l’expérience en danse de rue et Krump.

Tout au long du projet SHAPERS, Ahmed a été intrigué par le concept de mouvement et comment trouver des mouvements plus fort plutôt que danser plus fort. Il utilise des pratiques telles que le «flux animal» comme source d’inspiration ainsi qu’une variété d’autres pratiques physiques pour explorer son corps et ses capacités, un concept qu’il souhaite populariser dans la communauté de la danse égyptienne.

Shady Abdelrahman, Egypte

Shady Abdelrahman est un jeune artiste, acteur, danseur, pantomime et clown. Depuis 2007, il a joué dans de nombreuses représentations théâtrales, courts métrages et émissions de télévision. Il a participé à l’atelier de préparation des acteurs du studio ZAT 2015-2016 avec Shady Khalaf et Ahmed Kamal.

Avec une formation en danse popping, sa relation à la danse contemporaine a commencé dans l’atelier de Karima Mansour en 2011, avant de rejoindre le programme de formation professionnelle du Centre de danse contemporaine du Caire (2012-2015). Pendant ses études, il a été sélectionné pour suivre le programme de bourses Henny Jurriens à Amsterdam. En plus de travailler et de tourner avec de nombreux chorégraphes et compagnies, Shady travaille sur ses propres projets en tant que metteur en scène et chorégraphe.

Mourad Kouala, Maroc

Danseur et circassien, spécialiste du pôle chinois, Mourad Koula a été formé à l’école nationale de cirque de Shems’y à Salé, au Maroc. Il a travaillé avec de nombreux réalisateurs et chorégraphes : Sylvie Guillermin, Guillaume Bertrand, Juha Marsalo, Thierry Poquet, Jawad Essounani, Anne Le Batard, Jean Antoine Bigot et Samuel Tétreault.

Son solo Shkoun ana a été présenté plusieurs fois au Maroc et en France. Mourad a participé à : Karacena Festival à Salé (2012 & 2014), Sacred World Music Festival à Fès (2013 & 2014), Festival Fatw’art à Casablanca (2013, 2014 & 2015), Nassim el Raqs à Alexandrie (2015), Festival art et cirque d’Agadir (2015), Chalon dans la rue en France (2015), Festival Mes de danza à Séville (2016), Festival du cirque de Crolles en France (2016) et le festival de danse On marche à Marrakech ( 2017). Il crée actuellement de nouvelles performances telles que Error 404 avec la cie Wajdins et Youness Essafy.

Ayoub Kerkal, Maroc

Circassien et danseur, Ayoub Kerkal a commencé sa formation à la renommée école nationale de cirque Shems’y à Salé, au Maroc, en 2011. Depuis 2012, il revient à sa première passion, la danse contemporaine, en travaillant avec des chorégraphes comme Mic Guillaumes, Thomas Huert et la compagnie Ex Nihilo.

En 2013, il devient membre de la compagnie parkour Accroche-toi, en tant que danseur et circassien. Ayoub a participé à des festivals tels que la Biennale des arts du cirque à Karacena (2012 et 2015), ainsi que de multiples festivals de danse : On Marche au Maroc, Nassim el Raqs en Egypte et Festival Zvrk en Bosnie Herzégovine.

Lucia Bocanegra, Espagne

Lucia Bocanegra est née à Séville en 1997. Elle a commencé à danser à l’espace Endanza à Séville en 2000. Avant d’entrer au Conservatoire de danse professionnelle, elle a également suivi des cours au Performing Arts Center de Séville. Lucia a choisi de se spécialiser en danse contemporaine en 2015 et a été sélectionnée par le CAD (Centre de Danse d’Andalousie) pour s’entraîner. En outre, elle a participé à la création de diverses pièces courtes, telles que Seenpro (2015), Soulviewer, pièce de fin d’année 2015 du conservatoire, et le trio Nudas (2016). Lucia a également interprété le solo Gnosis, pour la tournée CAD 2015 et Salafuera dans le cadre de la collaboration culturelle de la Noche en Blanco 2016 à Séville. De 2016 à 2018, elle rejoint l’équipe du Projet Euro-Méditerranéen SHAPERS avec la compagnie Ex Nihilo.

Elvira Balboa, Espagne

Elvira Balboa a terminé ses études de danse professionnelle en 2017 au Royal Contemporary Dance School Reina Sofia. Elle fait actuellement partie du projet euro-méditerranéen SHAPERS, réalisé par la compagnie française Ex Nihilo. Elle poursuit ses études supérieures en danse à l’Institut du théâtre de Barcelone.

Elvi est danseuse et chorégraphe dans la compagnie Land Lab Project et CIA la Coet. En 2015, elle a participé au projet Let’s Dance réalisé par Trinidad Castillo, une élève de Pina Bausch. De 2012 à 2016, elle a créé et organisé le projet Danzamatique (micro, macro, perfodanza) à Grenade.

Natacha Kierbel, France

Natacha Kierbel est née à Paris en 1995. Elle a suivi une formation au Conservatoire Régional de Paris. En outre, elle a étudié la littérature et le théâtre à l’Université Sorbonne Nouvelle et a suivi une formation à l’École internationale de théâtre de Paris. En 2014, Natacha rejoint le Geneva Junior Ballet où elle interprète le répertoire d’Aleksander Ekman, de Hofesh Shechter, de Roy Assaf, de Barak Marshall, de Sharon Eyal, d’Adonis Foniadakis et de Kaori Ito entre autres. Diplômée en 2016, Natacha a travaillé avec la compagnie Ex Nihilo pour le projet euro-méditerranéen SHAPERS, chorégraphié par Anne Le Batard et tournée au Maroc, en Egypte, en Espagne et en Bosnie. Elle a également travaillé avec le metteur en scène Robert Carsen à l’Opéra de Lausanne et avec la compagnie Karine Saporta.

Aurore Allo, France

Aurore Allo a étudié la danse contemporaine à Paris et en Belgique. Elle a travaillé pour différents projets en France et à l’étranger en tant que danseuse et chorégraphe. Elle croit en l’art dans l’espace public comme un moyen de communiquer avec le public dans un domaine commun et publiquement utilisé.

Aurore s’intéresse à la danse et à l’art en tant qu’outil de médiation sociale, en particulier pour les enfants et les personnes handicapées.

Emma Riba, Spain

Née en Andorre en 1990, Emma Riba a étudié la danse contemporaine dans différentes écoles de Barcelone et a terminé ses études à Salzbourg à l’académie SEAD où elle a appris avec des danseurs et chorégraphes tels qu’Edivaldo Ernesto, Rootlessroots, Milan Tomasik parmi d’autres. Depuis 2016, elle a travaillé avec des chorégraphes comme Willi Dorner, Zsuzsa Rozsavolgyi, Helena Pellisé et a collaboré comme substitut au projet euro-méditerranéen SHAPERS avec la Compagnie Ex Nihilo. Elle est actuellement membre de la compagnie espagnole Cielo Ras0. En 2017, elle crée avec Laura Alcalà le collectif de danse US BACK IN TOWN. Ils travaillent non seulement dans le domaine de la création mais aussi pour promouvoir la danse et la création en tant qu’outils de médiation sociale. Ils ont travaillé avec des amateurs dans les écoles et avec des personnes handicapées.