Inspirée de son expérience à Alexandrie, en mission de service civique dans le cadre du projet SHAPERS, où elle documentait par le dessin et l’image le processus de création des danseurs, Elsa Menad étudie dans son mémoire de fin d’année à l’école supérieure des Beaux-Arts de Bourges le fait de “voir un lieu à travers la danse” pour les danseurs, habitants ou passants.
Parallèlement, elle travaille à la mise en place d’un projet d’expérimentation de fin d’étude, la Charrette Mobile, qu’elle viendra tester dans la prochaine édition de Nassim el-Raqs, dans le prolongement de cette aventure partagée, avec son compagnon Benjamin Bloch.